venerdì 15 maggio 2009

Les « Panzer » germaniques menacent la place financière luxembourgeoise

Les boches s’en prennent au Luxembourg
L'investigateur, 2009-05-14

Mais quelle mouche a donc piqué les Merkel, Müntefering et autres Steinbrück ? Pourquoi, après tant d’années de paix économique et financière (la paix guerrière est heureusement établie depuis bien longtemps), se déchaînent-ils subitement ainsi contre le minuscule Grand-duché. Certes, il y a la crise, la fameuse crise et l’Allemagne, avec ses primes de démolition et ses grands travaux supposés remédier au manque de travail des entreprises, avec son train de vie d’enfer et sa faillite sociale, a grand besoin de taxer l’impôt là où il se trouve. Et précisément dans des pays comme le Luxembourg ou la Suisse. A force d’avoir fait dégénérer l’Etat social allemand en un mastodonte dont personne, du moins parmi ceux qui font vivre l’économie et le salariat, n’est plus maître, ceux qui produisent et qui gagnent de l’argent ont évacué en douce leur pognon vers des places financières moins contraignantes. La débandade économique actuelle est en grande partie de la faute de ceux qui dirigent aujourd’hui l’Allemagne et qui l’ont fait ces dernières décennies. Et comme on n’ose plus, outre-Rhin, revenir en arrière sur la lente mise à mort de l’économie nationale, on s’en prend maintenant aux fraudeurs, à ceux qui ont tenté d’échapper à la pression fiscale extrême de ce pays. Et pour récupérer ce fric, il faut nécessairement s’en prendre aux pays qui permettent, de par leurs mécanismes financiers, aux capitaux allemands d’échapper à la pression fiscale.

Alors, en désespoir de cause, on fait comme l’ex-vice chancelier allemand Müntefering et grand patron du SPD socialiste et on menace quasiment son petit voisin luxembourgeois de lui envoyer les chars. Ou comme le ministre socialiste des Finances d’outre-Rhin qui lui, tel les aryens de la Herrenrasse, la race des seigneurs de funeste mémoire, estampille le Luxembourg de clone du Burkina-Faso et met les Luxembourgeois au niveau des « nègres ». Ou, dans d’autres discours, au niveau d’Indiens face à la cavalerie… allemande qui les guette. Pire : le bouillonnant et quelque peu trop élitaire ministre des finances germanique n’accepte même pas de s’excuser pour le choix de ses paroles excessives. Persiste et signe donc.

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